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International Perspectives on Sexual and Reproductive Health

A journal of peer-reviewed research

Perceived Infertility Among Young Adults in Balaka, Malawi

Auteurs

Chelsea Polis, Guttmacher Institute Ann M. Moore, Guttmacher Institute Abdallah Chilungo, Tsogolo la Thanzi Sara Yeatman, University of Colorado Denver

Contexte: L'infertilité perçue — le fait de croire, pour une personne, qu'elle ne peut pas concevoir ou causer une grossesse — peut conduire, entre autres préoccupations, à l'absence de contraception et à la grossesse non planifiée, sans toutefois avoir été largement étudiée dans les contextes à faible revenu.

Méthodes: Une mesure de l'infertilité perçue utilisée précédemment aux États-Unis a été incluse dans une enquête menée en 2015 auprès de jeunes adultes de Balaka (Malawi). La prévalence d'une éventuelle infertilité perçue (c'est-à-dire croire qu'il est légèrement ou fortement probable qu'on soit infertile, ou qu'on aurait des difficultés à concevoir ou à causer la grossesse d'une partenaire; IPP) a été estimée dans l‘échantillon analytique de l‘étude, composé de 1 064 femmes et de 527 hommes âgés de 21 à 29 ans. Les variables associées à l'IPP ont été identifiées par régression logistique multivariable. Les raisons d'IPP données par les répondants et leurs estimations de la probabilité d'une grossesse après un rapport sexuel non protégé ont aussi été étudiées.

Résultats: La prévalence de l'IPP était de 8% au total, et de 20% parmi les femmes nullipares. Les facteurs associés à l'IPP et les raisons de l'IPP variaient suivant le sexe. Pour les femmes, l'IPP était significativement associée à l'âge, à l'éducation, à un terme d'interaction entre l'âge et l'éducation, au nombre de partenaires sexuels, aux sentiments que susciterait la découverte d'une grossesse le mois suivant, à la parité et à la pratique contraceptive. Pour les hommes, l'IPP était associée à un terme d'interaction entre l'âge et l'éducation, au nombre de partenaires sexuelles et à la situation matrimoniale. Les répondants tendaient à surestimer la probabilité d'une grossesse après un rapport sexuel non protégé.

Conclusions: L'infertilité perçue s'est révélée inférieure au Malawi, par rapport aux États-Unis, bien qu'elle soit apparue considérable dans certains sous-groupes. Les interventions éducatives visant à accroître les connaissances sur les probabilités de grossesse et le retour à la fertilité après l'arrêt de la contraception peuvent réduire les préoccupations concernant l'infertilité perçue.

Author's Affiliations

Chelsea B. Polis is principal research scientist, Guttmacher Institute, New York, and holds an associate appointment, Department of Epidemiology, Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, Baltimore, MD, USA. Ann M. Moore is principal research scientist, Guttmacher Institute. Abdallah Chilungo is director, Tsogolo la Thanzi (Healthy Futures), Balaka, Malawi. Sara Yeatman is associate professor, Department of Health and Behavioral Sciences, University of Colorado Denver, Denver, CO, USA.

Disclaimer

The views expressed in this publication do not necessarily reflect those of the Guttmacher Institute.
Volume 46
May 2020
|
Pages 61 - 72

First published online: mai 5, 2020

DOI: https://doi.org/10.1363/46e8620
Source / Available for Purchase
http://www.jstor.org/stable/10.1363/46e8620

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